J’ai cette idée que la plupart des personnes en développement personnel (dans son aspect le plus commercial et en dehors de la réalité) sont en quête quasi systématique de la résilience.

 

La résilience ne s’applique pas quand on le décide, en se levant un bon matin.

Elle se vit !

 

La vie, justement, n’est pas un long fleuve tranquille. Et parce qu’il y a eu plusieurs couches de générations avant les nôtres et qu’il y en aura tant d’autres après nous, nous avons besoin de temps avant d’être résilient envers nous même, envers les autres, envers nos enfants.

 

Parce que la plupart d’entre nous avons reçu une éducation qui nous a déconnecté de nos ressentis, de notre pouvoir personnel, dépourvu du sens de l’acte de résilience, laissons nous le temps pour sentir, expérimenter, se tromper pour se (re)construire en accord avec nos besoins profonds.

 

La résilience ne signifie pas tout accepter au contraire. Elle s’acquiert si petit à petit nous agissons en conscience dans la vie de tous les jours et que nous nous rapprochons de notre capacité à surmonter les difficultés, à avancer, à nous épanouir malgré les risques et les aléas souvent difficiles de la vie.

 

Rappelez vous que vous êtes capable. Vous avez la capacité de ressentir et d’agir pour votre bien, en dehors des dictats que la société vous impose.

 

C’est en cela que vous êtes un parent soutenant et qui transmet les compétences à son enfant pour en faire un adulte responsable qui saura expérimenter les torrents de la vie avec de plus en plus de résilience.

 

Remerciez vous d’être qui vous êtes.

 

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